Apocalypses ou le 8 ème roi

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W...-Judaïsme et Nazisme, un pont en Or....

vendredi 21 septembre 2012

Vous venez de V- De quelques lectures-, ou peut être de V- Nature, Péché, Reptiles ...*...

Rien de tel que l’enquête sur la dynastie des Bush (1) pour toucher du doigt le satanisme de la Haute finance, et la formidable imposture de soi-disant français, dénonçant à tour de bras l’antisémitisme...

Extrait de ce Lactaire délicieux..., édité nous dit-on depuis 2005, sans que rien change au matraquage des "natives" par les flics de service et à la destruction de l’économie comme des souverainetés par banques et "think tank" interposée... Alléluiah ...

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Pour avoir construit la machine de guerre hitlérienne grâce à sa production de charbon, d’acier et d’armes, tout en utilisant des travailleurs réduits à l’état d’esclaves, le nazi Flick fut condamné à sept années de prison lors des procès de Nuremberg ; il en fit trois. Toutefois, en compagnie de ses amis de New York et de Londres, Flick vécut jusque dans les années 1970 et mourut dans la peau d’un milliardaire.

Le 19 mars 1934,Prescott Bush - à l’époque directeur de la German Steel Trust’s Union Banking Corporation - lança un avertissement à l’adresse d’ Averell Harriman, absent, au sujet d’un problème qui s’était développé dans le partenariat de Flick. (n.18) Bush envoya à Harriman une coupure de presse du New York Times du jour, qui disait que le gouvernement polonais résistait aux actionnaires américains et allemands qui contrôlaient la « plus importante unité industrielle de Pologne, l’Upper Silesian Coal and Steel Company (.) ».

L’article du New York Times poursuivait : « Depuis longtemps, la compagnie a été accusée de mauvaise gestion, d’emprunts excessifs, de comptabilité factice et de jouer avec les placements. Des mandats d’arrêts ont été délivrés en décembre contre plusieurs directeurs accusés d’évasion fiscale. C’étaient des citoyens allemands et ils ont quitté le pays. Ils ont été remplacés par des Polonais. Vexé, Herr Flick, considérant ceci comme une tentative de ne plus avoir que des Polonais au sein du conseil d’ administration de la compagnie, restreignit les crédits jusqu’à ce que les nouveaux directeurs polonais furent incapables de payer les travailleurs régulièrement. ».

Le New York Times faisait également remarquer que les mines et usines de la compagnie « emploient 25.000 personnes et prennent à leur actif 45% de la production totale d’acier de la Pologne et 12% de sa production de charbon.Deux tiers des actions de la compagnie sont aux mains de Friedrich Flick, un éminent industriel allemand de l’acier, et le reste est détenu par des intérêts situés aux Etats-Unis. »

Considérant le fait qu’une grande partie de la production polonaise était exportée vers l’Allemagne nazie qui traversait une dépression, le gouvernement polonais pensa que Prescott Bush, Harriman et leurs partenaires nazis devaient au moins payer des taxes sur leurs holdings polonais. Les propriétaires américains et nazis répondirent par un lock-out. La lettre à Harriman à Washington faisait état d’un télégramme provenant de leur représentant en Europe :

« Avons entrepris de nouvelles démarches Londres Berlin (.) SVP établir des relations amicales avec l’ambassadeur polonais [à Washington]. ».Une note de 1935 de la Harriman Fifteen Corporation, signée George Walker, annonçait qu’un accord avait été conclu « à Berlin » pour vendre un paquet de 8.000 de leurs actions dans la Consolidated Silesian Steel. (n.19).

Mais la dispute avec la Pologne n’empêcha pas la famille Bush de poursuivre son partenariat avec Flick. Les chars et les bombes nazis « réglèrent » cette querelle en septembre 1939 avec l’invasion de la Pologne qui constitua le début de la Seconde Guerre mondiale.

L’armée nazie avait été équipée par Flick, Harriman, Walker et Bush, avec des matériaux essentiellement volés à la Pologne. A l’époque, peu nombreux sans doute étaient ceux qui pouvaient apprécier l’ironie de la situation. En effet, lorsque les Soviétiques attaquèrent et envahirent également la Pologne à partir de l’est, leurs véhicules fonctionnaient avec le pétrole extrait des puits de Bakou qu’avait relancé l’entreprise Harriman/Walker/Bush.

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Trois ans plus tard, soit environ une année après l’attaque japonaise sur Pearl Harbor, le gouvernement américain ordonna la saisie des parts nazies dans la Silesian American Corporation, conformément à la loi relative au commerce avec l’ennemi. On établit que des ressortissants ennemis possédaient 49% des actions ordinaires et 41,67% des titres privilégiés de la compagnie. L’ordre caractérisait la compagnie en tant que « entreprise commerciale au sein des Etats-Unis, détenue par [une association de compagnies de Zurich, en Suisse et gérée au bénéfice de la Bergwerksgesellschaft George Von Giesche’s Erben, une société allemande (.) » (n.20).

Bert Walker était toujours le principal directeur de la compagnie qu’il avait fondée en 1926, en même temps qu’avait été fondé le German Steel Trust. Ray Morris, le partenaire de Prescott dans l’Union Banking Corp. et la Brown Brothers Harriman, était également l’un des directeurs. Le rapport d’enquête qui précéda les sanctions du gouvernement expliquait la « NATURE DES AFFAIRES » : La société en question est un holding américain agissant pour des filiales allemandes et polonaises qui possèdent d’importantes et prospères mines de charbon et de zinc en Silésie, en Pologne et en Allemagne. Depuis septembre 1939, ces propriétés sont en possession ou ont été exploitées par le gouvernement allemand et ont constitué sans aucun doute une assistance considérable à l’effort de guerre de ce pays. » (n.21).

Le rapport ajoutait que les actionnaires américains espéraient reprendre le contrôle des propriétés européennes après la guerre. Déjà en 1920, Bert Walker avait arrangé les crédits dont Harriman avait besoin pour prendre le contrôle de la Hamburg-Amerika Line. Walker avait organisé l’American Ship and Commerce Corp. en tant qu’unité de la W.A. Harriman & Co., disposant d’un pouvoir contractuel sur les affaires de la Hamburg-Amerika. Comme le projet de Hitler prenait de plus en plus d’ampleur, les actions de Harriman Bush dans l’American Ship and Commerce Corp. étaient gérées par la Harriman Fifteen Corp., dirigée par Prescott Bush et Bert Walker. (n.22).

C’était une balade facile pour l’athlétique, élégant et bien bronzé Prescott Bush : depuis le gratte-ciel de la Brown Brothers Harriman au 59 Wall Street - où il était directeur principal et partenaire, directeur des investissements spéciaux et conseiller d’Averell et de son frère « Bunny » - il se rendait à la Harriman Fifteen Corporation au 1, Wall Street, connue également sous le nom de G.H. Walker & Co. - et tournait le coin pour se rendre à ses autres bureaux au 39 de Broadway, siège précédent de l’ancienne W.A. Harriman & Co., puis, passait également par les bureaux de l’American Ship and Commerce Corp., et enfin ceux de l’Union Banking Corporation. A maints égards, la Hamburg-Amerika Line de Bush fut le pivot de tout le projet de Hitler.

Averell Harriman et Bert Walker avaient acquis le contrôle de la compagnie maritime en 1920, lors de négociations avec son PDG de l’après-guerre, Wilhelm Cuno, et avec les banquiers de la compagnie, Messieurs Warburg. Cuno fut par la suite complètement dépendant des Anglo-américains et devint membre de l’Anglo-German Friendship Society. Lors de la montée vers la dictature de Hitler, dans les années 1930-32, Wilhelm Cuno alloua des sommes importantes au parti nazi. (n.23)

Albert Voegler était PDG de la Thyssen Flick German Steel Trust pour laquelle l’Union Banking Corp. de Bush constituait le bureau de New York. Il était directeur de la BHS Bank, associée à Bush, à Rotterdam et il était également l’un des directeurs de la Hamburg - Amerika Line de Harriman et Bush. Voegler s’associa à Thyssen et à Flick dans leurs lourdes contributions au parti nazi, entre 1930 et 1933 et aida à organiser l’accession finale des nazis au pouvoir national. (n.24).

La famille des banquiers Schroeder était la cheville ouvrière des activités nazies de Harriman et Prescott Bush et était étroitement liée à leurs avocats Allen et John Foster Dulles. Le baron Kurt von Schroeder était codirecteur de l’imposante fonderie Thyssen-Hugutte en compagnie de Johann Groeninger, le partenaire de banque de Prescott Bush à New York. Kurt von Schroeder était trésorier de l’organisation de soutien des milices privées du parti nazi, que subventionnait Friedrich Flick. Kurt von Schroeder en compagnie du protégé de Montagu Norman, Hjalmar Schacht, se chargèrent des arrangements finaux qui allaient permettre à Hitler d’entrer au gouvernement. (n.25).

Le baron Rudolph von Schroeder était vice-président et directeur de la Hamburg-Amerika Line. Contact intime de longue date d’Averell Harriman en Allemagne, le baron Rudolph envoya son petit-fils le baron Johann Rudolph dans une tournée des bureaux de Prescott Bush de la Brown Brothers Harriman, à New York City, en décembre 1932 - à la veille du triomphe de leur protégé Hitler.(n.26).

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Certaines actions entreprises directement par la compagnie maritime Harriman - Bush en 1932 peuvent se ranger parmi les pires actes de trahison de ce siècle

L’ambassade américaine à Berlin rapporta à Washington que les « campagnes électorales coûteuses » et « le prix pour maintenir une armée privée de 300 à 400.000 hommes » avaient soulevé des questions à propos des soutiens financiers des nazis. Le gouvernement constitutionnel de la République allemande se décida à défendre la liberté nationale en ordonnant au parti nazi de dissoudre ses armées privées. L’ambassade américaine rapporta que la Hamburg-Amerika Line se livrait à des attaques propagandistes contre le gouvernement allemand du fait que celui-ci avait pris des mesures énergiques de dernière minute contre les forces de Hitler.(n.27).

Des milliers d’opposants allemands au nazisme furent abattus ou subirent des intimidations de la part des milices privées nazies, les Chemises brunes. A ce propos, faisons remarquer que l’original « marchand de mort », Samuel Pryor, fut l’un des directeurs fondateurs à la fois de l’Union Banking Corp. et de l’American Ship and Commerce Corp. Puisque Monsieur Pryor était président du comité exécutif de Remington Arms et un personnage central dans le commerce privé mondial des armes, son utilité dans le projet de Hitler s’accrut en tant que partenaire de la famille Bush dans les opérations bancaires du parti nazi et du transport maritime transatlantique.

Les enquêteurs chargés par le sénat américain d’enquêter sur le trafic d’armes ont fouillé dans les activités de Remington après qu’elle se fut alliée, suite à un accord de cartel concernant les explosifs, à la firme nazie I.G.Farben. Enquêtant sur la période qui allait conduire à la prise de pouvoir par Hitler, les sénateurs découvrirent que « des associations politiques allemandes, telles les nazis et d’autres, sont presque toutes équipées d’armes à feu américaines. (.)

Des armes en tous genres venant d’Amérique sont transbordées sur l’Escaut dans des barges fluviales avant que les navires n’arrivent à Anvers. Elles peuvent ensuite être acheminées vers la Hollande sans inspection ou interférence de la police. On présume que c’est de cette façon que les hitlériens et les communistes se procurent des armes. Les principales armes venant d’Amérique sont des mitraillettes et des revolvers Thompson. Et ce, en grandes quantités. »(n.28).

Le commencement du régime hitlérien amena quelques changements bizarres à la Hamburg - Amerika Line - et quelques trahisons supplémentaires. Le 7 mars 1933, l’ American Ship and Commerce Corp. de Prescott Bush fit savoir à Max Warburg de Hambourg, en Allemagne, qu’ il serait le représentant officiel et désigne du conseil d’administration de la Hamburg-Amerika (n.29).

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Max Warburg répondit, le 27 mars 1933, assurant ses sponsors américains de ce que le gouvernement de Hitler était bon pour l’Allemagne : « Ces quelques dernières années, les affaires ont été considérablement mieux que nous ne nous y étions attendus, mais une réaction s’est fait ressentir depuis quelques mois. En fait, nous souffrons également de la propagande très active contre l’Allemagne et provoquée par certaines circonstances déplaisantes. Ces événements ont été la conséquence naturelle de la campagne électorale très nerveuse, mais ils ont été extraordinairement exagérés dans la presse étrangère. Le gouvernement est fermement décidé à maintenir la paix publique et l’ordre en Allemagne, et je suis absolument convaincu, à cet égard, qu’il n’y a pas la moindre raison de s’alarmer. » (n.30)

Cette marque d’approbation en faveur de Hitler, venant d’un juif réputé, était tout ce que Harriman et Bush souhaitaient, car ils avaient prévu des cris d’alarme » plutôt sérieux aux Etats - Unis mêmes contre leurs opérations nazies. Le 29 mars 1933, deux jours après la lettre de Max à Harriman, le fils de Max, Erich Warburg, envoya un télégramme à son cousin Frederick M.Warburg, directeur du système ferroviaire de Harriman. Il demanda à Frederick d’utiliser « toute son influence » pour faire cesser toute activité antinazie en Amérique, y compris « les informations concernant les atrocités et la propagande inamicale dans la presse étrangère, les rassemblements de masses, etc. ».

Frederick répondit à Erich, toujours par câble : « Il n’y a pas de groupes responsables ici pour insister sur un boycott des marchandises allemandes, excepté tout simplement des individus excités. »

Le surlendemain, 31 mars 1933, l’American-Jewish Committee, contrôlé par les Warburg, et la B’nai B’rith, fortement influencé par les Sulzberger (New York Times), sortirent une déclaration officielle, commune aux deux organisations, conseillant « qu’on n’encourage aucunement en Amérique un boycott contre l’Allemagne » et que, dorénavant, « on n’organise plus de réunions de masses ou autres formes similaires d’organisations ». (n.31)

L’American Jewish Committee et la B’nai B’rith (qui donna naissance à l’ Anti-Defamation League » - Ligue anti-diffamation’) maintinrent leurs positions intransigeantes consistant à ne pas attaquer Hitler tout au long des années 30, émoussant en permanence le combat organisé par de nombreux juifs et autres antifascistes.

Par conséquent, l’échange décisif reproduit ci-dessus, ayant eu lieu entièrement dans l’orbite de la firme Harriman/Bush, peut expliquer certains traits des relations de George Bush vis-à-vis des dirigeants juifs américains et sionistes.

Certains d’entre eux, en étroite coopération avec sa famille, jouèrent un sale rôle dans le drame du nazisme. Est-ce pourquoi les « chasseurs professionnels de nazis » n’ont jamais découvert comment la famille Bush avait bâti sa fortune ?.

Le 5 septembre 1933, à Hambourg, le conseil de direction de la Hamburg Amerika Line (Hapag) eut une réunion avec la compagnie Lloyd pour l’Allemagne du Nord. Sous la supervision officielle des nazis, les deux firmes fusionnèrent. Le 4 novembre 1933, l’American Ship and Commerce Corp de Prescott Bush installa Christian J. Beck, un directeur d’opérations depuis longtemps chez Harriman en tant que directeur de l’affrètement et des opérations en Amérique du Nord pour les nouvelles lignes de transport maritimes nazies (Hapag Lloyd). Selon les témoignages que des officiels des compagnies firent au Congrès en 1934, un superviseur venu du Nazi Labor Front (Front nazi du travail) se trouvait à bord de chaque navire de la ligne Harriman Bush.

Les employés des bureaux de New York étaient directement organisés dans l’organisation qu’était le Nazi Labor Front ; La Hamburg-Amerika fournissait le libre passage aux individus allant à l’étranger dans le but de faire de la propagande nazie ; et la ligne subsidiait les journaux pronazis aux Etats-Unis, comme elle l’avait fait en Allemagne contre le gouvernement constitutionnel. (n.32)

A la mi-1936, l’American Ship and Commerce Corp. de Prescott Bush envoya un câble à MM. Warburg, leur demandant de représentant les lourds intérêts de la compagnies lors de la prochaine assemblées des actionnaires de la Hamburg-Amerika.

Le bureau des Warburg répondit : « Nous vous avons représentés » lors de l’assemblée des actionnaires et nous « avons usé à votre endroit de votre pouvoir de vote pour la somme de 3.509.600 RM [Reich Marks = marks or] 3,509,600 du stock d’actions Hapag déposé avec nous. ». Les Warburg transmirent une lettre qu’ils avaient reçue d’Emil Helfferich, directeur à la fois de Hapag Lloyd et de la filiale de la Standard Oil en Allemagne : « Il est de nos intentions de poursuivre nos relations avec M. Harriman sur la même base que jusqu’à présent (.) »

Dans un geste haut en couleur, Helfferich, le président nazi de Hapag envoya le président de la ligne à travers l’Atlantique en le faisant embarquer sur un zeppelin afin de rencontrer les tireurs de ficelles de New York. Après la réunion avec le passager du zeppelin, le bureau Harriman Bush répondit : « Nous sommes heureux d’apprendre que M. Helfferich [sic] a déclaré que les relations entre la Hamburg American Line et nous-mêmes se poursuivront sur la même base que jusqu’à présent. »(n.33)

Deux mois avant de prendre des mesures contre l’Union Banking Corporation de Prescott Bush, le gouvernement américain ordonna la saisie de toutes les propriétés de la Hamburg - Amerika Line et de la North German Lloyd, conformément à la loi sur le commerce avec l’ennemi. Les enquêteurs notèrent dans leur rapport précédant la saisie que Christian J. Beck agissait toujours en tant qu’avocat représentant la firme nazie. (n.34)

En mai 1933, juste après la mise en place du régime nazi, un accord fut signé à Berlin en vue de la coordination de tout le commerce nazi avec les Etats-Unis. La Harriman International Co., dirigée par l’aîné des cousins d’ Averell Harriman, Oliver, devait diriger un syndicat de 150 firmes et individus, pour gérer toutes les exportations venant de l’Allemagne de Hitler aux Etats-Unis.(n.35)

Ce pacte avait été négocié à Berlin entre le ministre des Affaires économiques de Hitler, Hjalmar Schacht, et John Foster Dulles, avocat international pour des douzaines d’entreprises nazies, avec le conseil de Max Warburg et Kurt von Schroeder. Plus tard, John Foster Dulles allait devenir secrétaire d’Etat et la grande force du Parti républicain dans les années 50.

L’amitié de Foster et celle de son frère Allen (chef de la CIA) aidèrent grandement Prescott Bush à devenir sénateur républicain du Connecticut. Et ce fut d’une valeur inestimable pour George Bush, dans son ascension vers les hauteurs du gouvernement d’action couverte », qu’à la fois ces deux frères Dulles eussent été les avocats de la très vaste entreprise de la famille Bush. Tout au long des années 30, John Foster Dulles arrangea la restructuration des dettes des firmes allemandes salon une série de décrets sortis par Adolf Hitler.

Dans ces transactions, Dulles établit un équilibre entre les intérêts dus à des investisseurs choisis, plus importants et les besoins sans cesse grandissants de la machine de guerre nazie dans la production de chars, de gaz nocifs, etc. Dulles écrivit à Prescott Bush en 1937 à propos d’un arrangement de ce genre. Au cours des années 20, la German-Atlantic Câble Company, qui possédait le seul canal nazi de télégraphie, avait signé des arrangements concernant ses dettes et sa gestion avec la banque Walker Harriman.

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(1)- Webster G. Tarpley et Anton Chaitkin, « George Bush : The Unauthorized Biography » (GB : une biographie indésirable).